Cela pourrait i?tre donc sa secretaire personnelle.
Mon plan fonctionnait comme je l’esperais et je fus tres excitee avec une telle nouvelle. Thomas en revanche semblait beaucoup moins enthousiaste que moi. L’idee de devoir porter talons et jupes la totalite des jours ne l’enchantait guere. Peu importait ! Cela pouvait beaucoup faire la soupe a la grimace, moi je voulais feter devant un bon repas ca et le lui fit savoir.
Il protesta, disant qu’il ne pouvait pas aller au restaurant dans cette tenue. Il n’avait nullement pleinement tort. Concernant le moment je ne pouvais gui?re prendre le risque qu’il salisse avec megarde le seul uniforme de travail.
– Tres beaucoup ! repondis-je. Allons d’abord Realiser legerement de shopping. Il va te falloir d’autres affaires. Madeline a ete tres gentille de te preter cette tenue mais il te va falloir une garde-robe complete si tu veux garder ton travail.
Aussitot dit, je demarrai la voiture et pris la direction du centre commercial le plus proche. Cela faisait une de ces tetes aussi que nous deambulions au sein des rayons de lingerie. Dans temps a autre je demandais a Thomas s’il aimait les motifs de telle culotte ou la couleur de tel soutien-gorge. Chaque fois il devenait rouge tel une pivoine. C’etait a mourir de rire. Je ne l’avais jamais surpris aussi gene. Il ne cessait de jeter des coups d’?il autour de lui pour etre certain que personne ne le voyait. On aurait evoque un animal pourchasse.
Au final je lui achetai quelques chemisiers, une paire de tailleur feminin, une robe longue, des jupes plissees ou droites, des bas et une nouvelle paire de talons.
Regulii?rement Thomas rechignait et faisait sa mauvaise tronche, ce plaignant de bien et de n’importe quoi. « Pourquoi acheter tant ceci ou ce qui ? Je ne vais pas en avoir besoin longtemps. »
Mais pour chacune de l’ensemble de ses complaintes, j’avais la meme parade :
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